Edital pósdoc CAPES-COFECUB 2019
Abertas de 10 a 31 de maio de 2019 inscrições para bolsa de pós-doutorado em Paris (França) vinculada ao projeto Gênero Ameaça(n)do sob coordenação de Anna Paula Uziel (UERJ) e Eric Fassin (Université de Paris 8)
Abertas de 10 a 31 de maio de 2019 inscrições para bolsa de pós-doutorado em Paris (França) vinculada ao projeto Gênero Ameaça(n)do sob coordenação de Anna Paula Uziel (UERJ) e Eric Fassin (Université de Paris 8)
EDITAL CAPES-COFECUB 8/2018
PROGRAMA DE DOUTORADO SANDUÍCHE NO EXTERIOR 2019
INSTRUÇÕES PARA APRESENTAÇÃO DE CANDIDATURAS
O Seminário Outros Olhares sobre a História da Antropologia, deste mês de abril, acontecerá na próxima quarta-feira, dia 17, com o tema “Uma História da Antropologia Brasileira” apresentado pela pós-doutoranda Simone Lira da Silva.
O Seminário, projeto de extensão do NIGS, tem apresentações abertas ao público, acontecem mensalmente, e através de formação e compartilhamento de saberes, apresentar outras formas de ver, pensar e fazer a antropologia no Brasil e no mundo.
Seguem as datas por vir:
Genre menaçant / genre menacé
Analyser la croisade anti-genre du point de vue des études de genre
Projet CAPES Cofecub
Éric Fassin, 13.1.18
Depuis leur émergence dans le sillage de la deuxième vague féministe au cours des années 1970, et malgré leur renouvellement avec le développement des recherches sur la sexualité depuis les années 1980, les études de genre ont la plupart du temps été confrontées à une indifférence sociale empreinte de condescendance. Toutefois, aujourd’hui, elles se heurtent plutôt à une forme d’hostilité politique qui prend souvent un tour virulent.
C’est en 1995, à l’occasion de la conférence de l’ONU sur les femmes à Pékin, que le Vatican prend conscience de la menace que constitue le genre pour l’ordre sexuel traditionnel. L’épouvantail n’est plus seulement, voire plus tant le féminisme de la « guerre des sexes ». Le péril nouveau, ce serait désormais l’ébranlement de la différence des sexes, soit l’indifférenciation. Le concept de genre apparaît donc à ses adversaires comme une arme pour contester la place assignée aux femmes, jusque dans l’Église, mais aussi pour subvertir l’évidence de la norme hétérosexuelle, jusque dans le mariage. Au « trouble dans le genre » dont le féminisme serait à la fois le symptôme et le vecteur, l’Église catholique oppose depuis lors un ordre naturel des sexes mais aussi des sexualités. C’est pourquoi la « question homosexuelle », la « question trans », et plus généralement les enjeux autour des minorités sexuelles sont, autant que le contrôle du corps des femmes, au cœur de la bataille du genre.
Pareille offensive ne se limite pas au catholicisme : dans les années 2010, l’exemple français de la mobilisation contre le « mariage pour tous » mais aussi contre la (supposée) « théorie-du-genre » montre l’importance de coalitions religieuses (avec les autorités juives ou musulmanes) ; selon les pays, plutôt que les catholiques (comme en Pologne ou en Colombie), ce sont les évangéliques (comme au Brésil) ou les orthodoxes (comme en Russie) qui vont organiser le combat. Et si la religion joue un rôle décisif, tant la naturalisation de l’ordre sexuel y apparaît comme un refuge ultime contre l’extension de la logique démocratique qui sape son autorité transcendante, elle entraîne avec elle des forces laïques.
Sans doute le conservatisme sexuel, religieux ou pas, n’a-t-il rien de nouveau – dans aucun de ces pays : sans parler du sexisme ou de l’homophobie, l’antiféminisme a une longue histoire. Toutefois, l’émergence des minorités sexuelles sur la scène publique redouble la virulence politique à l’encontre de « l’idéologie du genre ». Cette conjoncture amène à en prendre conscience : le conservatisme moral est aujourd’hui à proprement parler réactionnaire – autrement dit, il s’érige en réaction contre les progrès de ce qu’on peut appeler la « démocratie sexuelle », en termes de liberté et d’égalité. C’est le succès du genre qui le rend menaçant ; et c’est en conséquence qu’il est menacé. Mais en retour, les attaques contribuent à la visibilité du genre, et donc à son succès social.
Deux traits supplémentaires caractérisent ce moment ambigu de notre actualité. Le premier, c’est l’internationalisation : non seulement on peut établir une cartographie de la contagion réactionnaire, mais le genre est aussi devenu un enjeu géopolitique, tant il est identifié par ses adversaires, de manière réductrice, à l’Occident ou aux pays du Nord. En Afrique, certains dirigeants, selon une rhétorique anti-impérialiste, rejettent ainsi, en même temps que la démocratie sexuelle, le genre, réputé étranger à la culture africaine.
Le deuxième, c’est l’articulation entre le concept universitaire et la bataille des mœurs qui se livre dans la société : le genre n’est pas seulement le prolongement théorique d’un mouvement social, le féminisme, redoublé par un autre, LGBTQI, dans toute sa diversité ; il en est aujourd’hui une composante politique en même temps qu’académique, comme en témoigne d’ailleurs son usage dans les instances internationales. La réaction contre la « théorie-du-genre » est donc d’autant plus significative qu’elle relie l’évolution juridique et morale aux mouvements sociaux ainsi qu’au développement des études de genre.
Reste à penser ces mutations. Jusqu’à présent, en sciences sociales, les études de genre ont été principalement définies par des enquêtes sur les identités de genre et pratiques sexuelles. Or l’offensive contre la « théorie-du-genre » fait entrer les études de genre dans le domaine public, non plus comme un domaine spécialisé, voire obscur, mais comme un enjeu politique majeur en pleine lumière. Prises pour objet d’attaques, les études de genre doivent prendre la croisade anti-genre pour objet d’étude. La réflexivité revendiquée par les sciences sociales rejoint ici l’exigence épistémologique féministe du « savoir situé ». Analyser cette bataille du genre, voilà ce qu’entreprend de faire notre projet.
Ce n’est pas un hasard s’il s’agit d’un projet franco-brésilien. Bien sûr, la mobilisation contre le genre est internationale ; et de fait, notre projet aura des prolongements au-delà de nos deux pays, avec des échanges et des colloques proprement internationaux. Cependant, le choix de travailler depuis et sur ces deux pays a un sens particulier. C’est en France que cette offensive a été le plus visible, et le plus tôt (dès 2011 autour des manuels scolaires de Sciences de la vie et de la terre, puis à partir de 2012 contre le mariage pour tous », avec un prolongement en 2013 contre la « théorie-du-genre » à l’école). Au Brésil, les attaques se multiplient aussi depuis quelques années, dans le monde de l’art et de l’école, ou de la psychologie, et les manifestations et agressions contre une figure emblématique des études de genre, Judith Butler, pendant sa visite en 2017, en sont une expression spectaculaire. En même temps, dans les deux pays, les études de genre sont en plein essor et s’emploient à analyser l’offensive qu’elles subissent.
Associer une équipe française et une équipe brésilienne permettra de penser la comparaison, c’est-à-dire à la fois les logiques communes aux deux pays (et sans doute à d’autres), mais aussi la spécificité du contexte tant en France qu’au Brésil. Les membres du projet pourront ainsi apporter leur expertise sur leur propre pays, mais en même temps participer aux enquêtes dans l’autre pays : c’est tout l’intérêt des séjours de chercheur.se.s que permet un tel financement : non seulement faire part d’un savoir constitué dans le pays d’origine, mais aussi participer à la constitution du savoir dans le pays d’accueil – et dans les deux sens.
Analyser les formes et les terrains de la « croisade anti-genre » qui se déploie internationalement à partir du cas de deux pays particulièrement visés, France et Brésil, autour de quatre objets, qui demanderont quatre enquêtes de nature différente : religion, éducation, savoirs et populisme.
Quatre objets d’enquête.
Le premier est sans doute le plus évident : les institutions religieuses ont joué un rôle décisif dans les mobilisations contre « l’idéologie » ou « la théorie » du genre, dans nos deux pays comme ailleurs. Toutefois, le contexte religieux n’est pas partout le même : en particulier, le poids de l’Église catholique en France demande à être comparé à celui des églises évangéliques au Brésil. En même temps, l’offensive religieuse suppose des alliances, non seulement avec d’autres confessions, mais aussi avec des groupes politiques non-religieux.
Deuxièmement, l’éducation est l’un des terrains où se livrent les batailles contre le genre. Ce n’est pas seulement parce que là se joue l’avenir ; c’est aussi que les campagnes peuvent rencontrer d’autant plus d’écho qu’elles jouent sur les investissements personnels et familiaux dans l’éducation, avec toutes les inquiétudes qui s’y concentrent. C’est donc un moyen de toucher un public large, bien au-delà des groupes définis idéologiquement, dans sa vie quotidienne à partir des enfants. Il faudra aussi s’interroger sur la spécificité de ce terrain par rapport à d’autres – par exemple dans le monde de l’art et du cinéma.
Troisièmement, il convient d’étudier la bataille autour des savoirs. En France, l’anthropologie a naguère été mobilisée contre le PaCS, au nom d’une différence des sexes censée transcender le genre comme construction sociale. Si ce vocabulaire rejoint l’anthropologie religieuse défendue par le Vatican, il en va autrement au Brésil. Il faut ainsi analyser le statut de la psychologie (et de la psychanalyse) dans la bataille. Peut-être aussi les attaques politiques contre la sociologie doivent-elles être comprises, au moins en partie, dans ce contexte. On enquêtera donc sur le statut respectif des différentes disciplines, dans un pays comme dans l’autre, et on étudiera la traduction des controverses dans les organisations institutionnelles, y compris en termes de financements.
Enfin, quatrièmement, on conjuguera sciences sociales et philosophie politique pour s’interroger sur les rapports entre populisme et réaction anti-genre. Pour une part, cette croisade joue en effet, comme en France, du « sens commun », soit de l’évidence d’une différence naturelle entre les sexes, pour disqualifier les études de genre présentées comme élitistes car éloignées du « peuple », supposément défini par le « bon sens ». Ces rhétoriques politiques résonnent particulièrement à l’heure où les populismes se font entendre dans les deux pays, et bien au-delà. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le rejet du genre coïncide avec la mise en scène, d’hommes politiques dont la virilité voire le virilisme peut s’interpréter comme une réaction contre l’émergence de femmes en politique.
Chacun de ces quatre objets permettra des comparaisons entre la France et le Brésil qui, en même temps, nourriront l’enquête. Les différents événements organisés dans les deux pays impliqueront des collègues d’autres pays, en particulier en Europe et en Amérique latine, pour élargir la comparaison.
Comme les études de genre, ce projet sera pluri- et interdisciplinaire : les équipes qui collaborent impliquent anthropologues, philosophes, psychologues et sociologues.
Eis, que no dia 31 de março, na Ilha da Magia, previsto como um lindo domingo de sol, encontras uma/um amiga, parente, vizinha/o, pastora/or, patroa/ão, professora/or, que por acaso, menciona a ideia bizarra de comemorar o golpe de 1964. Tu, num momento de pura iluminação, tolerância e esperança, a/o convida para a escuta de algumas mulheres, do lado de dentro do cárcere. Qual a relação do fato histórico com a escuta das mulheres no cárcere?
A atividade é decorrente da pesquisa de tese da doutoranda Marinês da Rosa, sob coordenação das Professoras Dra Miriam Pillar Grossi e Dra Luzinete Simões, junto ao Programa de Doutorado Interdisciplinar em Ciências Humanas – UFSC. As cartas escritas por algumas mulheres de dentro do cárcere, em 2018, tinham como destinatárias mulheres no 8 de março e foram expostas durante a edição do 8M Brasil SC daquele ano. Desde então, as cartas com a escrita de si das “Marias no cárcere” têm rompido os muros do cárcere por meio da escuta extramuros.
Amanhã, 31/3/2019 Local: Parque de Coqueiros
Cartas do cárcere
Mulheres encarceradas, elas existem e resistem!
Parceria com projetos da UDESC
Biblioteca Parque Comunitária de Coqueiros
https://www.facebook.com/BibliotecaParqueCoqueiros/
Projeto Novos Horizontes
https://www.facebook.com/programanovoshorizontesudesc/
Núcleo de Identidades de Gênero e subjetividades – UFSC
https://www.facebook.com/nigsnucleo/
8M Brasil – SC https://www.facebook.com/8MBrasilSantaCatarina/
Divulgamos o resultado de seleção para bolsa PIBIC-CAPES para o projeto “Direitos Humanos, Antropologia, Educação: experiências de formação em Gênero e Diversidades”, no Núcleo de Estudos de Populações Indígenas (NEPI).
Universidade Federal de Santa Catarina
Centro de Filosofia e Ciências Humanas
Departamento de Antropologia
Núcleo de Identidade de Gênero e Subjetividades
Núcleo de Estudos de Populações Indígenas
Resultado do Edital 03 de Seleção de Bolsista PIBIC- CAPES
Projeto “Direitos Humanos, Antropologia, Educação: experiências de formação em Gênero e Diversidades”.
Agradecemos a todas às candidatas e candidato que realizaram a seleção de bolsa PIBIC para o projeto Direitos Humanos, Antropologia e Educação: experiências de formação em Gênero e Diversidade.Foram considerados, no processo de avaliação, os critérios de avaliação que estão descritos no Edital.
Selecionados (as) por ordem de classificação:
Informamos que a bolsa será alocada de abril à setembro de 2019. O candidato selecionado em primeiro lugar deverá estar apto a fazer imediatamente os encaminhamentos da bolsa junto à CAPES e dar início às atividades em 01/04/2019 junto ao Núcleo de Estudos de Populações Indígenas- NEPI.
Banca de Seleção:
Pós-Doutoranda Alexandra Alencar
Pós-Doutoranda Clarissa Rocha de Melo
Doutoranda Edilma do Nascimento
Florianópolis, 20 de março de 2019.
Convidamos a todos para o Seminário outros olhares sobre a história da antropologia. Nosso primeiro encontro será no dia 20 de março de 2019, às 13h no Miniauditório do CFH – UFSC, com o tema A História do Departamento de Antropologia da UFSC. Serão Facilitadoras desse encontro: Alexandra Alencar (PPGICH/ UFSC) e Suzana Martins Costa (Antropologia/ UFSC)
Este seminário é uma continuidade do Programa de Seminários de Antropologia Mundial da Secretaria do 18º IUAES World e visa contribuir para a formação acadêmica de jovens antropólogas e antropólogos através de seminários que abordam temáticas que vão desde de Teoria Antropológica, História da Antropologia, Debates contemporâneos da Antropologia Mundial ao debate sobre gênero, classe e raça no contexto de produção do conhecimento antropológico. Os encontros terão duração de 1h e acontecerão mensalmente durante o ano de 2019. Tem por objetivo refletir sobre a formação em história da antropologia sob uma perspectiva decolonial e feminista
O projeto de intercâmbio entre as escolas municipais e estaduais da grande Florianópolis e a Universidade Federal de Santa Catarina visa despertar a vocação cientifica e apresentar a UFSC à jovens dos últimos anos do Ensino Médio. Ele é coordenado pelas Profª Drª Miriam Pillar Grossi e Drª Alexandra Eliza Vieira Alencar.
Este edital se destina a seleção de graduando/a dos Cursos de Antropologia, Ciências Sociais, Museologia ou áreas afins para atuar por 6 meses (entre 1 de abril a 30 de setembro de 2019), no projeto Direitos Humanos, Antropologia, Educação: experiências de formação em Gênero e Diversidades, junto Núcleo de Estudos de Populações Indígenas (NEPI) da UFSC.
Para maiores informações acesse o link abaixo:
Projeto “Direitos Humanos, Antropologia, Educação: experiências de formação em Gênero e Diversidades”
Este edital se destina a seleção de graduando/a dos Cursos de Antropologia, Ciências Sociais, Museologia ou áreas afins para o atuarem 05 meses (entre agosto e dezembro de 2018), no projeto Direitos Humanos, Antropologia, Educação: experiências de formação em Gênero e Diversidades, junto ao Núcleo de Identidades de Gênero e Subjetividades (NIGS) e Núcleo de Estudos de Populações Indígenas (NEPI) da UFSC.
1. APRESENTAÇÃO DO PROJETO
O projeto Direitos Humanos, Antropologia e Educação: análise de experiências de formação em Gênero e Diversidades visa a análise de políticas públicas federais de formação de professoras/es, desenvolvidas nos últimos quinze anos no Brasil nas temáticas de gênero/sexualidade, educação indígena e ações afirmativas. Contemplado pelo edital 038/2017 da CAPES que visa “Estimular e apoiar a formação de recursos humanos por meio da realização de projetos de pesquisa dedicados à temática de Educação em Direitos Humanos & Diversidades, com o propósito de aprofundar as análises acerca das relações, desdobramentos e implicações envolvendo a questão”.
As pesquisas desenvolvidas pela/os bolsista serão de cunho etnográfico e documental visando:
a) Analisar o impacto na rede de ensino público de Santa Catarina dos cursos GDE – Gênero e Diversidade na Escola e Licenciatura Indígena desenvolvidos na UFSC;
b) Estudar o impacto dos projetos PROEXT/MEC desenvolvidos entre 2008 e 2015 na UFSC pelas equipes do NIGS/UFSC e NEPI/UFSC referentes a ações de extensão universitária nos campos de Gênero/Sexualidade e Diversidades Étnico/Raciais, incluindo neste campo, o acompanhamento das políticas de ações afirmativas e diversidades na UFSC;
c) Estudar o impacto do Programa Nacional Gênero e Ciências (SPM/CNPq) e das atividades desenvolvidas pelo Instituto de Estudos de Gênero IEG/UFSC (curso de curta duração de Gênero e Feminismo, Mundo de Mulheres/Fazendo Gênero) na constituição do campo de estudos feministas e de gênero no Brasil;
d) Trabalhar com dados levantados pela equipe do NIGS junto à 3ª Conferência Nacional de Políticas para Mulheres e na Pesquisa Avaliação do Prêmio Igualdade de Gênero (2005- 2015).
2. DO OBJETO GERAL DO PROJETO:
Possibilitar a/ao bolsista, estudante de graduação, o aprofundamento do conhecimento científico, no que tange à realização de pesquisa documental e etnográfica junto ao projeto, à organização de eventos científicos e ao aprendizado de formas de produção acadêmica para divulgação dos de resultados de pesquisa.
3. DOS REQUISITOS PARA AS/OS CANDIDATOS(AS):
Para ser elegível, a/o estudante deverá atender aos seguintes critérios:
3.1. Ser estudante regularmente matriculado/a nos cursos de Graduação em Antropologia, Ciências Sociais, Museologia ou áreas afins da UFSC.
3.2. Ter o currículo cadastrado e atualizado na Plataforma Lattes do CNPq no ano corrente.
3.3. Dedicar-se por 20 horas semanais às atividades acadêmicas e de pesquisa, sendo o período vespertino da quarta-feira dedicado às reuniões da equipe.
3.4. Não possuir, durante a vigência da bolsa, vínculo empregatício ou bolsa de outro programa de Iniciação Científica e/ou tecnológica, monitoria ou extensão.
3.5. Ter bom desempenho acadêmico. Não poderá ser indicado bolsista com IAA inferior a 6,0.
3.6. Preferencialmente, estar cursando a disciplina Antropologia da Educação e/ou ter cursado disciplinas nas áreas de gênero, relações étnico-raciais e educação.
3.7. Preferencialmente ter familiaridade com o uso de pacotes Office, com programas de edição de imagens e vídeos, além de experiência na organização de eventos científicos.
3.8. Caso esteja no último ano do curso, deverá desenvolver projeto de TCC com assunto relacionado às temáticas vinculadas ao projeto da bolsa
3.9. Possuir conta corrente própria e ativa no Banco do Brasil no momento da entrega do Termo de Outorga. Contas bancárias conjuntas, contas poupança ou contas em outros bancos não serão aceitas, pois impossibilitam o pagamento da bolsa.
4. INSCRIÇÕES:
As inscrições deverão ser feitas por via eletrônica através do e-mail do NIGS () até o dia 08 de agosto de 2018 às 12 horas.
5. DA SELEÇÃO E ENTREVISTA:
A seleção será realizada em com base na:
5.1. Análise da documentação listada no Item 6.
5.2. Entrevista presencial com as/os candidatas/os na quarta feira 08 de agosto de 2018 às 16hs, na sala do NEPI (313, bloco B, CFH).
OBS. Candidatos/as que não entregarem todos os documentos solicitados no item 6 deste Edital ou que não comparecerem à entrevista serão desclassificados/as.
6. DA DOCUMENTAÇÃO NECESSÁRIA À ENTREVISTA:
Durante a entrevista, os/as candidatos/as devem estar munidos dos seguintes documentos impressos:
6.1. Currículo Lattes atualizado.
6.2. Histórico escolar do curso de graduação.
6.3. Questionário em anexo respondido.
7. DO RESULTADO
O resultado da seleção será divulgado na página do NIGS/UFSC no dia 09/08/2018 (http://nigs.ufsc.br/). A/o candidata/o selecionado/a em primeiro lugar deverá estar apta/o a fazer imediatamente os encaminhamentos da bolsa junto à CAPES e dar início às atividades em 13/08/2018.
8. DA BOLSA
O/a candidato/a selecionado/a receberá bolsa de iniciação científica da CAPES, no valor de R$ 400,00 (quatrocentos reais) por mês, depositada diretamente na sua conta bancária.
Comissão de Seleção: Antonella Tassinari, Alexandra Alencar e Edilma Monteiro.
ANEXO
Projeto “Direitos Humanos, Antropologia, Educação: experiências de formação em
Gênero e Diversidades”
Questionário referente ao Edital 02 de Seleção de Bolsista PIBIC- CAPES a ser entregue no momento da entrevista juntamente com o Histórico Escolar e Currículo Lattes
NIGS – NEPI – CFH – UFSC
1) Nome:
2) Curso:
3) Fase:
4) Interesses de Pesquisa:
5) Experiências em outros núcleos como bolsista ou voluntário:
6) Disponibilidade de horários para atuar como bolsista no projeto:
7) Faça uma breve pesquisa online sobre os projetos abaixo e apresente questões que despertaram seu interesse ou chamaram sua atenção para cada um dos tópicos
listados abaixo (no máximo 4 linhas cada):
a) Cursos de aperfeiçoamento e especialização GDE – Gênero e Diversidade na
Escola.
b) Projeto de Extensão Proex/Nigs “Projeto Papo Sério”.
c) Políticas da Secretaria de Ações Afirmativas e Diversidades (SAAD) da UFSC.
d) Projetos de extensão Proex/NEPI “Ações Afirmativas UFSC”.
e) Licenciatura Indígena na UFSC.
9) Apresente um argumento de um parágrafo sobre a importância desse tipo de iniciativa
dentro das escolas e universidades brasileiras.
Acontece hoje, 31 de julho, às 19h no auditório do EFI a Roda de Conversa “Pré-candidatas feministas de Santa Catarina”. O encontro é um pré-evento do Intercongresso Fazendo Gênero – 6ª Edição do Seminário Gênero e Feminismo do IEG/UFSC. Confirme sua presença no evento e compartilhe nosso cartaz, vamos chamar nossas amigas para dialogar sobre as políticas feministas que queremos!
Link para o evento:
https://www.facebook.com/events/579817632413953/?active_tab=about
Abraços